Nouvelles

Bien qu'il essaie actuellement de se débarrasser de l'habitude de grignoter, la visite de la "Gläserne Bonbonfabrik" (usine de bonbons en verre) le 15 août 2023 était de toute importance pour lui. En effet, depuis 2006, Katjes exploite un site de production moderne dans sa circonscription de Potsdam, où sont produites des marques telles que WICK, SALLOS et Gletschereis.

Lors de la visite de l'entreprise, à l'issue de laquelle le chancelier a reçu un sachet de bonbons sur lequel était écrit "Scholz ou rien", il a été guidé à travers la production par l'associé gérant Tobias Bachmüller et le directeur de l'usine Andreas Respondek. Il s'est entretenu avec les collaborateurs et s'est renseigné auprès du délégué du personnel Martin Niehle sur l'état d'avancement des travaux. Dans l'usine, dont l'extérieur est orné d'une fresque colorée et de l'inscription "The Future is Plant-Based", Katjes produit chaque année jusqu'à 6000 tonnes de bonbons végétaliens avec le soutien de 81 collaborateurs.

Olaf Scholz s'est montré très élogieux à propos de sa visite chez Katjes et a déclaré : "Nous avons vu ici une production extrêmement impressionnante avec un haut degré d'automatisation". Ce qui, à son tour, réjouit également Hänsel Processing, qui assure la production de bonbons durs chez Katjes avec un Sucroliner 1701 et une Strada 1500.

Lors de la mise en place de l'usine, le défi particulier consistait à construire un système de production flexible avec un haut degré d'automatisation pour un grand nombre de produits. Celle-ci devait fabriquer des produits Sallos avec des temps de changement courts selon un nouveau procédé innovant et couvrir ainsi l'ensemble du processus, de la manipulation des matières premières au moulage en passant par le pesage, la cuisson, le dosage et le tempérage.

Hänsel Processing, qui a réalisé la planification et la mise en œuvre des systèmes et qui continue d'assurer l'assistance et le service après-vente tout au long du cycle de vie, a reçu de nombreux échos positifs pour ce système. Selon le directeur Heiko Kühn, les faibles coûts d'exploitation sont particulièrement satisfaisants.